Pureté de la harpe, élégante
Dénudée aux bords de nos enfers
Sérénité des ombres de l’univers
Ondule et éblouit de tous ses charmes
Les violoncelles dramaturges
Concèdent aux violons des larmes de révolte
C’est alors que les cuivres, cinglants, excités
Plient genoux face aux cordes exilés
Battements de tambours, choeurs qui débordent
En explosion et grondements d’orage
Tout a coup très haut la note pure fuit
En recherche d’absolu, de perfection infinie
fugace,instant de volupté radieuse
Ensemble, juste le temps d’un accord précieux,
Enfin le piano au son mélodieux
Sonate son coeur pour l’ultime adieu
Esther
Chuuuut !!!! le rideau est tombée
mais la musique chante en nos coeurs
………..
chouette vous êtes venus