Décidément elles ne me laissent pas dormir
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Archives pour avril 2008
Il était une fois une petite fille qui s’est trouvée au départ de la route Vie, avec au coeur une
blessure si profonde comme on en rencontre dans le coeur du vieillard à l’arrivée de la vie.
Et ce ne pouvait être qu’ un vieillard
Et ce fut un vieillard qui lui tendit la main
Chacun était à u bout de la route et il s’est produit le miracle de l’abolition. De l’espace temps
La petite fille a vu de suite les étoiles qui brillaient dans les yeux du vieillard.
Le vieillard a vu les mêmes étoiles dans le regard de la petite fille.
Chacun a vu les étoiles de l’autre et ils ont commencé à marcher ensemble
La petite fille marchait comme une petite fille et comme un vieillard
Et le vieillard marchait comme un vieillard et-comme une petite fille.
Sur le chemin de la vie. Il était le maitre du temps.
Le vieillard connaissait la source de la Vie. Il connaissait la porte qui y menait
Dans le jardin extraordinaire. Il y pénétrait grâce à elle et elle y pénétrait grâce à lui.
Ils y mettaient une telle joie et ils étaient tellement respectueux des lieux.
La petite fille croyait que le vieillard en était le Roi et elle la Princesse. Le vieillard ne lui
enseignait pas le savoir des hommes. Il lui enseignait l’espièglerie comme un art.
Le coeur du vieillard était ouvert jusqu’à l’ame. La petite fille s’y voyait comme dans un
miroir.
Elle était belle.
Le pas du vieillard devenait plus lent. Le pas de la petite fille devenait plus rapide.
Elle commençait à lui lâcher la main.
Il n’avait pas d’amertume dans le regard. Son sourire se voulait rassurant
Son coeur saignait. Il restait là a l’attendre
Las d’attendre il finit par rejoindre les étoiles.
Et cette poussière d’étoiles sous les pas de l’enfant
C’est leur secrett
De Jeanne- Maes
bonjour a tous
Publié 29 avril 2008 dans acceuil, bienvenue, famille, general, journal intime et Non classé 3 Commentaires
Lorsque les non dits sont devenus trop pesants, trop épais, il arrive que l’on se sente perdue et seule
Pour ne pas sombrer, on ferme les yeux et l’on plonge vers les instants les plus doux de notre passé
La ou rien ne peut nous atteindre
La ou l’on peut panser ses plaies
Puis tout doucement sans l’avoir vraiment voulu, on remonte a la surface, on reprend conscience ,
et l’on voit les choses avec un regard neuf. La réalité reprend ses droits mais nous sommes sereins.
On comprend alors que nos souffrances, nos peines et nos luttes nous ont rendus plus forts prets
a atteindre de nouveaux horizons avec encore plus d’amour
Et pour finir une citation que j’adore
L’horizon est dans les yeux et non dans la réalité
chouette vous êtes venus